COVID-19

Displaying 26 - 29 of 29
| Communiqué de presse

Nouveau rapport : Les migrants se heurtent à un "mur invisible" dans l'accès aux soins et aux vaccins contre le COVID-19

Genève, 9 mars 2021 – Un nouveau rapport publié aujourd'hui révèle un "mur invisible" qui empêche les migrants d'accéder aux services de base depuis le début de la pandémie de COVID-19, et qui les empêche désormais d'accéder aux vaccins.Le rapport – Confinés et exclus ? Pourquoi l'accès des migrants aux services de base est essentiel à nos activités d’intervention et de rétablissement face à la pandémie de COVID-19 – s'appuie sur des recherches menées dans toutes les régions par le nouveau Laboratoire mondial de la Migration de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, dirigé par la Croix-Rouge australienne et soutenu par la Fédération Internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (IFRC) et le Comité International de la Croix-Rouge (CICR).Jagan Chapagain, Secrétaire général de l’IFRC, a déclaré :« Nos recherches révèlent ce que nous appelons un ‘mur invisible’ qui a empêché les migrants - en particulier ceux sans papiers ou en situation irrégulière - d'accéder aux services de base. Il est intéressant de noter que ce mur n'est pas construit principalement par des politiques visant à exclure les migrants. Il est plutôt constitué d'exclusions involontaires, ainsi que des conséquences involontaires des efforts déployés pour contenir et contrôler la pandémie ».Le rapport montre que – même si les mesures de confinement et autres mesures ont été conçues pour contrôler la propagation du COVID-19 – dans de nombreux contextes, elles ont involontairement augmenté la souffrance des migrants. En raison de ces restrictions, de nombreux migrants ont perdu leur emploi et leurs moyens de subsistance et n'ont pas pu satisfaire leurs besoins les plus fondamentaux, ce qui a engendré des niveaux inquiétants d'insécurité alimentaire, de sans-abrisme dû à l'incapacité de payer le loyer et d'aggravation des conditions de santé mentale.Les recherches ont également démontré que, même dans les situations où les migrants avaient été inclus dans les politiques relatives au COVID-19, leur capacité réelle à accéder aux services de base était souvent limitée. Par exemple, dans certains pays, les migrants n'ont pas pu accéder au test ou au traitement contre le COVID-19 parce qu'ils n'ont pas de numéros d'identité nationale ou de numéro de sécurité sociale. Cela risque d'affecter également l'accès aux vaccinations contre le COVID-19, même si l'éligibilité en droit existe.Dans d'autres situations, les migrants ont déclaré hésiter à consulter un médecin, à se faire soigner ou, plus récemment, à s'inscrire pour se faire vacciner contre le COVID-19 par crainte de divulguer des informations privées qui pourraient être communiquées aux autorités d'immigration pour les arrêter, les détenir ou les expulser. Le fait que, dans certains pays, les migrants doivent s'inscrire en ligne pour se faire vacciner contre le COVID-19 contribue également à l'exclusion, en raison de l'accès limité de certains migrants à lnternet ou à cause de leurs connaissances numériques limitées et aux barrières linguistiques.Jagan Chapagain, Secrétaire général de l’IFRC, a déclaré :« L'inclusion des migrants dans les politiques nationales relatives au COVID-19 ne se traduit pas nécessairement par un accès inclusif et efficace dans la pratique. Il est non seulement impératif sur le plan humanitaire de garantir l'inclusion de tous les migrants, quel que soit leur statut juridique, dans les programmes nationaux de vaccination contre le COVID-19, mais une telle inclusion est également dans l'intérêt de chaque pays. »« Le COVID-19 ne s’intéresse pas au statut migratoire d'une personne, et nous ne devrions pas non plus nous en soucier. A moins que tout le monde ne soit inclus, le virus continuera de circuler et de muter, ce qui pourrait compromettre l'efficacité de tous les efforts de vaccination. »Pour mettre fin à la pandémie, il est essentiel de s'assurer que tous les migrants soient inclus dans les politiques de vaccination et les stratégies de déploiement relatives au COVID-19.Pour plus d'informations :Pour plus d'informations sur la recherche et pour télécharger le rapport en plusieurs langues, visitez la page web du Laboratoire mondial de la Migration.

Lire plus
| Communiqué de presse

Le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge lance un appel à hauteur de 3,1 milliards de francs suisses (3,19 milliards de dollars É.-U.) pour enrayer la propagation du Covid-19 et venir en aide aux populations les plus vulné...

Genève, 28 mai 2020 – Le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (Mouvement) cherche à lever 3,1 milliards de francs suisses (soit 3,19 milliards de dollars É.-U.) pour intensifier d’urgence son intervention mondiale face à la rapide propagation du Covid-19 et venir en aide aux plus vulnérables dans le contexte de la pandémie.Cet appel coordonné s’appuie sur celui qui avait été lancé le 26 mars 2020 et vise à intensifier des services et activités de soutien vitaux pour faire face à la fois aux effets immédiats de la pandémie et à ses répercussions sociales et économiques à long terme.Depuis cinq mois, la pandémie menace chaque aspect de la vie quotidienne, accentue les inégalités, déstabilise des communautés entières et réduit à néant les progrès de ces dix dernières années en matière de développement.Jagan Chapagain, Secrétaire général de la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (Fédération internationale), explique : « Dans des contextes humanitaires précaires, la pandémie de Covid-19 crée de nouvelles vulnérabilités chez des personnes déjà très exposées. Nous sommes aujourd’hui confrontés à une juxtaposition de crises : pauvreté galopante, insécurité alimentaire, situation économique catastrophique, services de santé publique déficients, manque d’accès à l’eau potable, à l’assainissement et à l’hygiène, ... »« Au niveau local, les volontaires et le personnel des Sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge assurent des services et livrent des équipements vitaux en vue d’enrayer la propagation de la pandémie et de lutter contre la détérioration des moyens de subsistance et de la situation socioéconomique des personnes vulnérables. Pour protéger ces communautés et leur venir en aide, la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge doivent intensifier leur action locale de façon soutenue et coordonnée en parallèle des efforts déjà déployés au niveau mondial. »Le Mouvement est formé de trois composantes : le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), la Fédération internationale, et 192 Sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (Sociétés nationales).D’après Robert Mardini, directeur général du CICR, « cette crise sanitaire mondiale engendre des besoins considérables qui vont s’inscrire dans la durée, que ce soit en matière de soutien psychosocial, d’assistance médicale ou d’aide aux activités de subsistance dans les zones de conflit. Partout où le Covid-19 vient s’ajouter aux conflits et à la violence, le CICR travaille main dans la main avec ses partenaires du Mouvement pour réunir les moyens d’aider les familles vulnérables sur le long terme, et pas uniquement pour répondre aux effets immédiats de la pandémie. »- La Fédération internationale cherche à lever 1,9 milliards de francs suisses (1,95 milliards de dollars É.-U.) pour aider les Sociétés nationales à fournir des soins de santé, un approvisionnement en eau potable et des services d’assainissement, ainsi qu’à atténuer les effets socioéconomiques de la pandémie sur les personnes les plus vulnérables. Les fonds rassemblés renforceront en outre la capacité des Sociétés nationales, intervenants clés au niveau local, à exécuter ces services et programmes essentiels et à veiller à ce que leurs volontaires et leur personnel soient protégés et soutenus pendant cette crise. Sur 1,9 milliards de francs suisses, 450 millions seront levés par le Secrétariat de la Fédération internationale, en appui aux Sociétés nationales.- Le CICR cherche à lever 1,2 milliards de francs suisses (1,24 milliards de dollars É.-U.) pour intervenir dans les régions touchées par les conflits et les violences, fournir un appui dans les structures médicales et les lieux de détention, limiter la propagation du virus parmi les personnes déplacées et les détenus et leur assurer un accès à des soins médicaux, et aider les Sociétés nationales dans leurs efforts d’intervention. Sur 1,2 milliards de francs suisses, 366 millions serviront à appuyer la lutte essentielle et immédiate contre le Covid-19, et 828 millions à soutenir des activités visant à faire face à l’impact plus global de la pandémie. Le CICR vise à répondre aux besoins les plus pressants, notamment : à garantir un accès à l’eau potable et des conditions de vie saines ; à contribuer à une gestion sûre et digne des dépouilles mortelles ; et à aider les communautés vulnérables à accéder à des informations et des services vitaux.Depuis le début de la pandémie, le Mouvement aide les Sociétés nationales à renforcer leurs services de santé, la mobilisation des communautés et la préparation des populations vulnérables à la pandémie. Dans le monde entier, les Sociétés nationales ont intensifié leur action pour répondre aux différents besoins sanitaires et socioéconomiques dans leurs pays. Des volontaires interviennent en première ligne pour contribuer à la recherche de contacts, identifier des personnes atteintes du Covid-19 et leur fournir des soins.Le Mouvement est le plus vaste réseau humanitaire au monde. Ancrés dans les communautés, ses volontaires et son personnel viennent en aide aux populations les plus vulnérables, notamment aux personnes qui habitent des pays où les systèmes de santé et de protection sociale manquent de ressources, aux communautés qui se relèvent de catastrophes récentes, aux migrants et aux personnes déplacées, aux populations qui vivent dans des zones de conflit et sont en permanence confrontées à la violence, aux habitants de bidonvilles urbains, aux personnes en détention, et à celles qui souffrent des impacts socioéconomiques du Covid-19.

Lire plus
| Communiqué de presse

Plusieurs artistes, la Croix-Rouge et Facebook lancent la campagne #AfricaTogether pour appeler à la vigilance face au Covid-19

Nairobi/Genève, 01 juin, 2020--Facebook et le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge s’associent et lancent #AfricaTogether. Cette campagne numérique et son festival de deux jours tenu les 4 et 5 juin réunissent des artistes de toute l’Afrique pour lutter contre la désinformation autour du Covid-19 et promouvoir la vigilance vis-à-vis de la pandémie.Dans un contexte où plus de 100 000 cas confirmés de Covid-19 ont été recensés en Afrique et où les mesures de confinement s’assouplissent dans plusieurs pays, #AfricaTogether combine performances musicales et comiques avec des informations provenant des travailleurs humanitaires en première ligne et vérificateurs de faits issus de tout le continent.Le festival comprendra des performances d'artistes tels qu’Ayo, Femi Kuti, Ferre Gola, Salatiel, Serge Beynaud, Patoranking, Youssou N’Dour parmi d’autres, ainsi qu'une campagne digitale de sensibilisation avec des messages de prévention élaborés avec des experts de la santé de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge et ciblant simultanément les utilisateurs de Facebook dans 48 pays à travers l’Afrique sub-saharienne.L’événement sera diffusé en streaming sur Facebook Live, présenté en anglais le 4 juin par l’acteur et comédien populaire nigérian Basketmouth, et en français le 5 juin par la personnalité du monde des médias Claudy Siar. Les spectacles en direct seront accessibles depuis la page Facebook Africa et les pages Facebook de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge. Pour vous inscrire et en savoir plus sur la programmation des artistes et comment vous connecter, veuillez visiter les pages des événements Facebook en anglais et en français.Mamadou Sow, membre de longue date du Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, a déclaré : « La pandémie de Covid-19 est une crise sans précédent, car elle touche tout le monde, sans limites de frontières, d’origine ethnique et de religion. Les communautés d’Afrique ont su réagir rapidement, mais le risque reste réel. Si tout le monde y met du sien, nous vaincrons le Covid-19. La musique a le pouvoir de rassembler et nous espérons que le festival #AfricaTogether apportera un regain d’espoir et un nouvel élan contre cette dangereuse maladie. »Jocelyne Muhutu-Rémy, responsable des partenariats médiatiques stratégiques Facebook pour l’Afrique subsaharienne partage son point de vue : « Le pic de l'utilisation des outils en ligne pendant la pandémie de Covid-19 montre l'utilité sociale des plateformes numériques dans les moments difficiles. Nous sommes témoins de nombreuses initiatives solidaires de la part d’artistes qui rassemblent leurs communautés sur Facebook Live. Le concert virtuel #AfricaTogether permettra aux gens d'en savoir plus sur la lutte contre Covid-19, tout en profitant des divertissements de leurs artistes africains préférés. Nous allons transmettre la joie de vivre, sans risque de transmission du virus. »Cet événement n’est qu’un aspect parmi d’autres de la contribution du Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge et de Facebook à la lutte contre le Covid-19 sur le continent africain.Facebook poursuit sa collaboration avec les gouvernements des pays de l’Afrique subsaharienne. Le réseau social s’allie à des ONG et agences de santé qui utilisent activement les plateformes pour partager des informations exactes sur le Covid-19. Ces dernières ont mis en place des centres d’information Covid-19 dans plus de 40 pays pour fournir l’actualité des autorités sanitaires en temps réel, diffuser des articles, des vidéos et des publications utiles sur la distanciation sociale, et prévenir la propagation du virus.Fort d’un réseau de plus de 1,5 million de volontaires et de membres du personnel sur le continent africain, le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge est en première ligne pour combattre le Covid-19 au sein des communautés. Il organise des campagnes d’information, fournit du savon et un accès à l’eau potable, et soutient les centres de santé et leurs agents par le biais de formations, de mise à disposition de matériel et de fournitures. Dans certaines régions d’Afrique, le Covid-19 s’ajoute à d’autres crises liées aux conflits, à la violence ou aux catastrophes climatiques déjà présents. 

Lire plus
| Communiqué de presse

Le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge lance un appel à hauteur de 800 millions de francs suisses pour aider les personnes les plus vulnérables du monde à faire face au COVID-19

Genève, 26 mars 2020 –- Le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (Mouvement) a lancé ce jeudi un appel d’urgence révisé à hauteur de 800 millions de francs suisses (soit 823 millions de dollars É.U.) pour aider les communautés les plus vulnérables du monde à enrayer la propagation du COVID-19 et à se remettre de ses effets.Si le COVID-19 a déjà atteint le stade de pandémie mondiale, il est encore possible de réduire sa propagation et le nombre de victimes en améliorant l’accès aux ressources essentielles.Le président de la Fédération internationale, Francesco Rocca, a déclaré : « Cette pandémie met en péril des systèmes de santé entiers, et la situation empirera dans les régions où ces systèmes sont faibles, voire inexistants. Des mesures communautaires fortes doivent être prises pour endiguer le virus. Le COVID-19 touche tout le monde, mais les migrants et les personnes déplacées, les sans-abri et les habitants des zones à risque de catastrophe font partie des personnes les plus exposées à la maladie, les moins à même d’accéder à des soins de santé et les plus affectées par la perte de leurs revenus. Ces personnes ne doivent pas être oubliées. Nous devons renforcer le soutien apporté aux volontaires de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, qui sont en première ligne des opérations menées ».Le Mouvement réunit le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), la Fédération internationale des Sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (Fédération internationale), et les 192 Sociétés nationales de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge.- La Fédération internationale cherche à lever 550 millions de francs suisses (soit 566 millions de dollars É.U.) pour aider les Sociétés nationales à fournir des soins de santé, à prépositionner du matériel, à communiquer sur les risques, à tirer des enseignements de l’action du réseau mondial d’intervenants locaux, à allouer des subventions en espèces aux familles et à atténuer les conséquences pour la population dans les grands foyers d’épidémie. Sur ces 550 millions de francs suisses, 150 millions iront à la Fédération internationale en vue de soutenir les Sociétés nationales dans le besoin, tandis que les 400 millions restants seront levés par les Sociétés nationales au niveau national.- Le CICR cherche à lever 250 millions de francs suisses (256 millions de dollars É.U.) pour répondre aux besoins dans les contextes de conflit et de violence, soutenir les établissements médicaux et les lieux de détention en vue d’y contenir la propagation et de garantir aux personnes déplacées et aux prisonniers l’accès aux soins médicaux, et apporter un soutien aux efforts d’intervention des Sociétés nationales.Peter Maurer, le président du CICR, a déclaré : « La communauté internationale doit dès maintenant renforcer le soutien apporté aux communautés dont les ressources sont paralysées par un conflit si l’on veut éviter qu’une autre catastrophe humanitaire ne vienne s’ajouter aux innombrables crises dont ces communautés déchirées par la guerre ont déjà été victimes. Les virus ne connaissent pas de frontière ; nous sommes face à un problème mondial que seule une action mondiale pourra résoudre. »Parmi les activités déjà entreprises par le Mouvement figurent le soutien aux efforts des Sociétés nationales visant à renforcer leurs services de soins de santé, ainsi que la mobilisation communautaire et la préparation des populations vulnérables à une pandémie. Le Mouvement s’attache en outre à approvisionner les établissements médicaux, étendre les programmes d’assainissement et de prévention de la maladie, y compris dans les lieux de détention, et à atténuer l’impact socio-économique de l’épidémie en préservant l’accès des communautés aux services essentiels. Un soutien sera aussi apporté aux États dans la mise en œuvre des lignes directrices de l’OMS relatives à la détection rapide, l’isolement et le traitement des cas de COVID-19, ainsi qu’à la recherche des contacts.Les deux institutions affirment qu’une approche coordonnée à l’échelle de la société, prévoyant des financements et un soutien au sein des pays et entre eux, sera nécessaire pour enrayer la propagation rapide de la pandémie au niveau mondial. Les conséquences de cette crise seront généralisées, les personnes les plus vulnérables sont particulièrement exposées aux risques liés au COVID-19. Les gouvernements, les individus, les communautés, les institutions et les donateurs doivent travailler ensemble à tous les niveaux pour atténuer les effets ravageurs de cette crise sanitaire.Le Mouvement est le plus vaste réseau humanitaire au monde. Ses volontaires et personnels présents dans les communautés viennent en aide aux personnes les plus vulnérables : celles qui vivent dans les pays dont les systèmes de santé et de bien-être social manquent de ressources ; celles qui se remettent de catastrophes récentes ; les migrants et les personnes déplacées ; celles qui se trouvent dans des zones de conflit ou dans des contextes de violence continue ; celles qui vivent dans des taudis urbains ; les prisonniers ; et celles qui souffrent de l’impact socio-économique du COVID-19.

Lire plus